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TOUT PASSE
Paroles et musique : Luce Hébert
Je n’ai jamais oublié ton nom
Ce n’est pas vrai qu’on oublie les noms mais bon
Tout passe
Je n’ai jamais perdu la raison
Ce n’est pas vrai qu’on oublie son nom mais bon
Tout passe
Je t’ai aimé comme dans les chansons
que j’écrivais sans papier sans crayon mais bon
Tout passe
Puis j’ai quitté comme d’autres s’en vont
Pour aller où dans d’autres prisons mais bon
Tout passe tout passe
Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe
Je n’ai jamais demandé pardon
Ce n’est pas vrai qu’on part sans raison mais bon
Tout passe
Puis j’ai pleuré comme dans les saisons
Où l’ouragan se vautre en typhon mais bon
Tout passe tout passe
Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe
Je n’ai jamais perdu la raison
Ce n’est pas vrai que je tourne en rond mais bon
Tout passe
Mais j’ai rêvé comme dans les chansons
Que j’écrivais car l’amour est si bon si bon
J’en passe
Je n’ai jamais oublié ton nom
Ce n’est pas vrai qu’on oublie les cons mais bon
Tout passe tout passe
Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe
Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe
La fin de l'amour
Paroles et musique : Luce Hébert
Ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Quand tous les chiens aboient à la tombée du jour
Ce n’est pas la fin d’aimer et d’être aimé
Quand nos rêves se noient en Méditerranée
Ce n’est pas toujours la fin pour toujours
La fin de notre histoire de notre histoire d’amour
Ce n’est pas la fin la fin sans lendemain
La guerre déclarée en pays étrangers
Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi
On n’est pas toujours le héros du jour
L’employé du mois ou d’un pays le roi
Ce n’est pas toujours comme au cinéma
La vie de tous les jours nous prend l’amour parfois
Ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Quand les trains les convois s’arrêtent à un détour
Ce n’est pas la fin d’aimer et d’être aimé
Aussi brève que soit la trêve déclarée
Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi
On ne fait pas toujours pitié ou bien l’amour
Ce n’est pas toujours envers et contre ou pour
Ce n’est plus l’amour comme aux premiers jours
En plein mois de mai comme des jeunes mariés
On naît pas toujours poète ou troubadour
En habit de gala ou robe de velours
Ce n’est pas toujours comme au cinéma
La vie de tous les jours nous prend l’amour parfois
Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi
Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi
On cherchera
Paroles et musique : Luce Hébert
Comme dans les îles au loin là-bas terres paisibles pays sans froid
Où nos villas étaient sans toit d’argile d’ardoise ou bien de bois
Où nos marins devenus canailles étaient des mutins de ripailles
Comme dans les villes d’autrefois pays tranquilles pays de choix
Où nos villas devenues asiles étaient châteaux au bord de l’eau
Où nos jardins devenus ferraille étaient les lopins de Versailles
On cherchera on cherchera on trouvera une presqu’île
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour tranquille
On cherchera on cherchera on trouvera clairière ou bois
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour cent fois
Comme dans l’endroit où on ira on trouvera ce coin d’amour
Où les maisons ont des plein jours on trouvera ce coin de vie
Où les typhons s’en vont de nuit en arc-en-ciel en eau de pluie
On cherchera on cherchera on trouvera une presqu’île
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour tranquille
On cherchera on cherchera on trouvera clairière ou bois
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour cent fois
Et si la guerre ne nous tue pas on cherchera on trouvera
Venant du ciel de l’eau de pluie juste pour rester en vie
Et si nos frères ne nous tuent pas on cherchera on trouvera
Pure et sans fiel de l’eau de pluie juste pour rester en vie
On cherchera on cherchera on trouvera une presqu’île
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour tranquille
On cherchera on cherchera on trouvera clairière ou bois
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour cent fois
Des rêves étranges
Paroles : Luce Hébert
Musique : Luce Hébert & Yves Savard
La pleine lune est une opale ça fait la une d’un grand journal
Et on raconte que les étoiles si on les compte hissent les voiles
Tous les poissons qui sont dans l’eau comme de raison sont des robots
Tous les bateaux sont des ballons et l’océan est en carton
Et ton piano joue des morceaux ça fait des ronds des ronds dans l’eau
Est-ce que tu fais des rêves étranges
Raconte-moi tes rêves étranges
Est-ce que tu sais les rêves étranges
Sont quelquefois la voix des anges
L’astre du jour plonge dans l'eau et un vautour sur un corbeau
Tu cherches et trouves la clé d’un champ tu te retrouves au firmament
Tous les missiles sont en vengeance ça fait la file dans les urgences
Tu cherches une île pour tes vacances tu tombes pile t’en a d’la chance
Dans une forêt tout disparaît c’était trop beau pour être vrai
Est-ce que tu fais des rêves étranges
Raconte-moi tes rêves étranges
Est-ce que tu sais les rêves étranges
Sont quelquefois la voix des anges
Est-ce que tu fais des rêves étranges
Raconte moi tes rêves étranges
Est-ce que tu sais les rêves étranges
Sont quelquefois la voix des anges
Maybe
Paroles et musique : Luce Hébert
Maybe you hear the piano plays maybe you fear what solo says
Maybe you’re near maybe you’re dead and all those fears live in my head
Maybe you know those summer days when the rain falls throughout sun’s rays
Maybe you know I rest my case hope you’ll be back one of these days
Maybe you know about my trace maybe you hear what people says
Maybe they see an old lady who plays it cool who plays it free
But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the good I feel the bad for what we could or what we had
But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the bad I feel the good for what we had or what we could
Maybe you hear my cry and pride and all those tears I try to hide
That I can’t sleep ‘cause ghosting fright that I can’t sleep without your light
Maybe you know about my trace maybe you hear what people says
Maybe they see and old lady who plays it cool who plays it free
Maybe you know about my days maybe you hear what people says
Maybe they see an old lady but it’s not me but it’s not me
But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the good I feel the bad for what we could or what we had
But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the bad I feel the good for what we had or what we could
Maybe you know about my days maybe you hear what people says
Maybe they see an old lady but it’s not me but it’s not me
C'est impossible
Paroles et musique : Luce Hébert
C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus t’aimer
C’est impossible comme un amant qui tremble tous les amants qui tremblent
Peuvent encore s’embrasser
C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus rêver
À l’impossible
Comme un volcan qui tremble tous les volcans qui tremblent vont bientôt s’embraser
C’est impossible pourquoi vouloir reprendre ce que tu m’as donné
Dès que possible peux-tu faire une amende et qu’elle soit honorée
C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus t’aimer
C’est impossible comme un amant qui tremble tous les amants qui tremblent
Peuvent encore s’embrasser
C’est impossible pourquoi vouloir détendre un feu de cheminée
L’âtre paisible où l’on remue les cendres dans le cœur d’un brasier
C’est impossible pourquoi vouloir suspendre un rêve inachevé
Et si possible toi seul ne peux prétendre quand l’aube s’est levée
C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus rêver
À l’impossible
Et les volcans qui tremblent tous les volcans qui tremblent vont bientôt s’embraser
C’est impossible
Comment puis-je t’attendre et ne plus espérer
L’instant fébrile
Où l’on croit rendre l’âme sitôt abandonnée
C’est impossible
Tous les glaciers d’Islande vantent l’hiver vantent l’été
Tout est possible
Tant de beautés si grandes ne peuvent t’échapper
C’est impossible
Moi qui étais si tendre moi qui étais si tendre
Je ne peux plus t’aimer
C’est impossible
Moi qui étais si grande moi qui étais si grande
Je ne peux plus rêver
Infidèle
Paroles et musique : Luce Hébert
Comme on aime parfois comme on aime plus fort
Comme on aime cent fois cent fois et plus encore
Comme on apprend jamais comment l’amour se fait
On remet le hasard Infidèle pour un soir
Comme on cherche pourquoi comme on n’veut pas savoir
On perd chaque fois les clés de sa mémoire
Comme on aime souvent comme on oublie pourtant
Jusqu’à jurer on croit qu’on aimera longtemps
Comme on aime pour soi comme on part en courant
Jusqu’à jurer on ment Infidèle pour un temps
Comme on cherche pourquoi comme on n’veut pas savoir
On pleure chaque fois sur le quai d’une gare
Quand on a peur le soir on cherche dans le ciel
Une lune d’ivoire une flamme éternelle
Quand on n’a plus d’espoir on cherche une étincelle l’astre qui luit le soir
Sur les neiges éternelles
Comme on aime cent fois cent fois mais pas assez
Jusqu’à plus soif on boit sur nos amours passées
Comme on apprend jamais comment l’amour se fait
On se tait pour un mais Infidèle à jamais
Comme on cherche le bonheur comme on le trouve ailleurs
On vieillit puis on meurt Infidèle jusqu’au cœur
Quand on a peur le soir on cherche dans le ciel
Une lune d’ivoire une flamme éternelle
Quand on n’a plus d’espoir on cherche une étincelle l’astre qui luit le soir
Sur les neiges éternelles
Quand on a peur le soir on cherche dans le ciel
Une lune d’ivoire une flamme éternelle
Quand on n’a plus d’espoir on cherche un arc-en-ciel l’astre qui luit le soir
Une flamme irréelle
Comme on cherche avec qui écrire notre histoire
Jusqu’à mourir d’envie on a envie d’y croire
Même cent fois
Paroles et musique : Luce Hébert
La couleur du ciel était belle et je chantais pour toi
La chaleur semblait être celle que j’étouffais en moi
Les enfants jouaient à la marelle comme dans les fêtes parfois
Nos amis riaient de plus belle et chantaient plus fort que moi
La douceur du temps était celle qui me rappelait ta voix
Tu berçais mes peurs sous l’ombrelle et je croyais en toi
Les enfants cueillaient les airelles et couraient dans tous les bois
Tant de larmes mouillaient mon rimmel et je ne les voyais pas
Malgré la fête si belle je pense encore à toi
Dans ce pays de pur ciel tu ne reviendras pas
La douceur du temps était celle que j’aimais autrefois
Quand pour toi j’étais la plus belle une Juliette au cinéma
Les cerfs-volants dansaient dans le ciel et moi dans tes bras
La chaleur signait l’arc-en-ciel sur l’écho de ma voix
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu nous vois j’t’aurais tout donné même cent fois
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu me crois j’t’aurais tout donné même cent fois
Et l’écho de ma voix au ciel qui te tendait les bras
Et l’écho de ma voix réel si près si près de toi
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu nous vois j’t’aurais tout donné même cent fois
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu me crois j’t’aurais tout donné même cent fois
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu nous vois j’t’aurais tout donné même cent fois
Depuis nous
Paroles et musique : Luce Hébert
Lentement et ça me plait le temps me grise et c’est parfait
Les gens me disent que tu m’aimais si c’était vrai
Doucement rien n’y paraît les gens m’épuisent si tu savais
La seule église qu’il me faudrait c’est ton palais
Depuis nous
Les courants n’ont pas changé
Les océans font toujours bien les marées
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous
Depuis nous
Les grands vents n’ont pas tourné
Les ouragans n’ont pas détruit tous les étés
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous
Comme avant et désormais dans ma valise y’a tes complets
Et ta chemise que je portais quand tout m’allait
Je t’attends comme je m’en vais je me déguise et ça me plaît
Mon cœur se brise et se refait dans un couplet
Depuis nous les courants n’on pas changé
Les océans font toujours bien les marées
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous
Maintenant dans tous les marais ou la Tamise je vois ton reflet
Mon cœur s’enlise ou fait du ballet sur les galets
Je t’attends comme je te rêvais le vent me grise je fais un souhait
Pourtant la bise siffle mon secret et tu disparais
Depuis nous les courants n’ont pas changé
Les océans font toujours bien les marées
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous
Depuis nous les grands vents n’ont pas tourné
Les ouragans n’ont pas détruit tous les étés
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous
Les jeux de société
Paroles et musique : Luce Hébert
Tu rentreras si tard je serai fatiguée
Les yeux cernés de noir pareils à mes idées
Tout au bout du couloir je te devinerai
J’ai quitté ta mémoire comme un rêve oublié
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé
Tu rentreras trop tard trop tard pour m’arrêter
De vider mes tiroirs ou bien m’en empêcher
Comme aux jeux de hasard les jeux de société
Font tourner les histoires comme tournent les dés
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé
En croisant ton regard je la devinerai
Sans lune et sans espoir la nuit des condamnés
Comme aux jeux de hasard les jeux de société
Font tourner les histoires comme tournent les dés
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés
Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé
Le grand manège
(Chanson pour Mila)
Paroles et musique : Luce Hébert
Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et qu’importe où sera l’endroit il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège
Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et si petite que tu sois il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège
De Tivoli à Malaga les châteaux forts et des villas
De Tivoli à Malaga des lunes phares où que tu sois
Et tous les ports seront pour toi de grands décors de cinéma
Du sud au nord tu trouveras tant de trésors et ceux des Incas
Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et qu’importe où sera l’endroit il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège
Et si la vie guide nos pas tout doux la nuit tu rêveras
À tous ces lieux tous ces endroits tout l’eau des fjords que tu boieras
Jusqu’à l’aurore tu rêveras de tes envies naîtront nos pas
De deux de trois ou bien de chat que font les rats les rats de l’opéra
Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et si petite que tu sois il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège
Et quand la vie me quittera
Tu partiras tu partiras sans moi
Il tournera le grand manège
Le grand manège il tournera
Il tournera le grand manège
Le grand manège
Il tournera pour toi
Encore encore
Paroles et musique : Luce Hébert
Encore Encore
Tu t’imagines la fin du monde
Et quand tu dors
Quelqu’un dessine des rêves sombres
Encore Encore
Tu t’imagines que tout s’effondre
Et sur ton corps
Toutes les ruines elles tombent elles tombent
Elles tombent elles tombent
C’est aussi fort c’est aussi fou
Qu’un rêve mort qu’un rêve doux
Mais quand tu dors tu aimerais oublier tout oublier tout
Encore Encore
Tu t’imagines la fin du monde
Et quand tu dors
Quelqu’un dessine des rêves sombres
Encore Encore
Tu t’imagines que tout s’effondre
Et sur ton corps toutes les ruines elles tombent elles tombent
Elles tombent elles tombent
Tu perds le nord tu t’en vas où
Dans des couloirs sans rendez-vous
Dans ta mémoire il y a des trous
Des mines d’or mais sans le sou
Tu pleures encore tu pleures surtout
Sur tes remords et sur tes joues
Ton rêve mort ton rêve doux
Et son regard qui disait tout
Tu perds le nord tu t’en vas où
Sur des trottoirs sans garde-fou
Dans ta mémoire il y a des trous
Et des trésors sans le Pérou
Tu pleures encore tu pleures surtout
Sur tes remords et sur tes joues
Ton rêve mort ton rêve doux
Et son regard qui disait tout

MAIS TU SAIS QUOI
Paroles et musique : Luce Hébert
Si tu voyais à qui je ressemble
Quand je reviens de mes pensées
On dirait que mes deux mains tremblent
Celles qui aimaient te caresser
Si tu savais je n’ai plus l’âge
De ces lubies qui me font penser
À un bateau qui fait naufrage
Sans son marin venu l’ancrer
Si tu voyais j’ai deux fois l’âge
De mon destin d’abandonnée
Je coule sous l’eau de mes mirages
Sans port au loin ou bien sans quai
Mais tu sais quoi ça me suffit
Je rêve de toi j’en fais ma vie
Du cinéma en noir et gris
Du Coppola ou du Woody
Mais tu sais quoi ça me suffit
Je rêve de toi j’en fais ma vie
Je touche du bois ou la folie
De tous mes doigts même le petit
Si tu voyais on est ensemble
Quand je m’endors jusqu’à l’été
Sinon tu sais tout mon corps tremble
Du froid décembre jusqu’à fin mai
Comme j’aimerais être plus sage
Que ces matins que j’ai noyés
Dans le whisky des marécages
Ou le rosé des naufragés
Je vis tantôt sur les nuages
Ou mon piano et sa portée
Je joue trop gros je joue trop sage
Les fa en do les sol en ré
Mais tu sais quoi ça me suffit
Je rêve de toi j’en fais ma vie
Des fleurs en soie que j’ai cueillies
Dans tous les draps de l’insomnie
Mais tu sais quoi ça me suffit
Je rêve de toi j’en fais ma vie
Je lave mes draps quand j’ai dormi
Au savon Chat et sous la pluie
Si tu savais tous les villages
Que j’ai quittés sans te quitter
Bien maquillée je n’ai pas d’âge
Je peux marcher sans m’arrêter
Si tu voyais les paysages
Que je dois mettre de côté
Car je dessine ton visage
Et je le vends aux étrangers
Mais tu sais quoi ça me suffit
Je rêve de toi j’en fais ma vie
J’ai peur parfois que tu m’oublies
J’en perds la foi ou l’appétit
Mais tu sais quoi ça me suffit
Je rêve de toi j’en fais ma vie
J’entends ta voix et je bénis
Mon vin Muscat mon eau de vie
DE SI DE ÇA
Paroles et musique : Luce Hébert
Y’a trop de prix dans les galas
Pourquoi c’est lui pourquoi c’pas moi
On est surpris et puis sans voix
Ou en maudit mais ça s’voit pas
Y’a trop de pis comment ça va
Ça va comme ci ça va comme ça
Il est parti m’faire ça à moi
Et si ma vie j’la r’faisais pas
Y’a trop de psys qui n’écoutent pas
En théorie ça devrait pas
Y’a trop de si il revient pas
Y’a trop de bah il reviendra
Y’a trop de vies qu’on refait pas
Les soirs de pluie on sort ou pas
Y’a trop d’amis qui rappellent pas
Qu’est-ce qu’on inscrit à l’agenda
Y’a trop de Bi faut qu’j’essaie ça
Y’a trop de Bi où c’qu’on s’en va
Des jupes à plis des chemises à pois
Traînent sur le lit avec les bas
Y’a trop d’impies trop de burqas
Du monde qui prie d’autres qu’on voit pas
Y’a trop d’Marie qui couche-toi-là
Y’a trop d’maris qui rentrent pas
Y’a trop de si y’a trop de ça
Y’a trop de pis au pourquoi pas
Y’a trop de si y’a trop de ça
Trop d’mal en pis ou bien d’en cas
Y’a trop d’bandits ou de gros rats
Qui mangent tous ceux qui ne mangent pas
Y’a trop d’petits dans les grands plats
L’anorexie ça fait pas l’poids
Y’a trop d’abris ou de passe-droits
Des paradis pour les gros gras
De compagnies d’agglomérats
Qui dictent les lois avec l’état
Y’a trop d’avis qu’on donne ou pas
On est pro vie on est pro choix
Y’a trop défis ou trop d’exploits
On vise plus haut on tombe plus bas
Y’a trop d’j’m’ennuie t’es jamais là
Trop de Paris trop de Cuba
Pour boire la nuit y’a trop d’endroits
Trop de whisky glace et soda
Y’a trop de si y’a trop de ça
Y’a trop de bruit trop de fracas
Y’a trop de pluie trop de verglas
Trop de parapluies au cas au cas…
Y’a trop d’fusils au bout d’nos bras
Y’a trop d’ordis pour nos dix doigts
Au saut du lit on n’a pas l’choix
On tire sur tout c’qui bouge ou pas
Y’a trop d’génies d’autres qui suivent pas
Des cours de ci qui se donnent là
L’écologie au travers ça
Du vert-de-gris au ver à soie…
Y’a trop de si y’a trop de ça
Y’a trop de pis au pourquoi pas
Y’a trop de si y’a trop de ça
Trop d’mal en pis ou bien d’en cas…
Y’a trop d’génies d’autres qui l’ont pas
L’école d’la vie ça s’apprend pas
Tu t’accomplis ou t’es un poids
Pour tes amis ou la smala !!
NO STAR NO MOON NO LIGHT
Paroles et musique : Luce Hébert
I feel so strange tonight
No star no moon no light
Will you come back to me
The way love meant to be
You were love at first sight
And the stars bloom and bright
Will you come back ever
Or tell me it’s over...
And then I say again that I don’t want to cry
My heart is full of pain but I just want to fly
My soul is a complaint but if I give a try
Maybe I’ll find you friend and maybe I’ll survive
And then I say again that I don’t want to cry
My head is full of rain more there is in the sky
My soul is a complaint but if I’m not too shy
Maybe I’ll touch your hand and maybe I won’t die
An empty sky for night
No star no moon no light
But still I’ll be awake
Don’t you come back too late
So far so soon daylight
The scars will seal the night
But still I have the faith
Don’t you come back too late
And then I say again that I don’t want to cry
My heart is full of pain but I just want to fly
My soul is a complaint but if I give a try
Maybe I’ll find you friend and maybe I’ll survive
And then I say again that I don’t want to cry
My head is full of rain more there is in the sky
My soul is a complaint but if I’m not too shy
Maybe I’ll touch your hand and maybe I won’t die
No star no moon no light
For nothing if I fight
But still I pray the sky
For nothing if you lie
No star no moon no light
For nothing if I fight
But still I pray the sky
For nothing if you lie
QUI ÊTES-VOUS?
Paroles et musique : Luce Hébert
Qui êtes-vous vous êtes qui pour me faire pleurer
Vous étiez où l’été passé quand mon cœur s’est brisé
Qui êtes-vous vous êtes qui je vous ai tant aimé
Vous étiez où l’été passé quand les fleurs ont fané
Avec vous j’ai chanté sur les airs les plus doux
Qu’on pouvait fredonner et puis de rendez-vous
En rendez-vous manqué sur la mer des remous
Vous m’avez fait tanguer
Avec vous j’ai dansé sur les airs les plus fous
Qu’on pouvait s’inventer et puis de rendez-vous
En rendez-vous manqué sur vos terres de boue
Je me suis vue tomber
Qui êtes-vous vous êtes qui pour me faire pleurer
Vous étiez où l’été passé quand mon cœur s’est brisé
Qui êtes-vous vous êtes qui je vous ai tant aimé
Vous étiez où l’été passé quand les fleurs ont fané
Sous le ciel des mois doux j’attendais vos baisers
J’ai tendu une joue que vous avez soufflée
J’ai soudain vu le flou et j’ai senti le feu
Vous étiez des jaloux vous étiez malheureux
Ce n’était rien que nous de vos coups à mes bleus
À l’amitié des loups je lève mon verre ou deux
Ce n’est rien ou c’est tout vous êtes parmi ceux
Qui êtes des jaloux ou bien des malheureux
Ce n’était rien que nous de vos coups à mes bleus
Je n’ai rien vu du tout rien vu ou bien si peu
Ce n’est rien ou c’est tout vous êtes si nombreux
À être des jaloux ou bien des malheureux
Ce n’était rien que vous un peu plus qu’un ou deux
Mes amis loups-garous je n’ai pas vu vos yeux
Ce n’est rien ou c’est tout vous êtes si nombreux
À être des jaloux ou bien des malheureux
Qui êtes-vous vous êtes qui pour me faire pleurer
Vous étiez où l’été passé quand mon cœur s’est brisé
Qui êtes-vous vous êtes qui je vous ai tant aimé
Vous étiez où l’été passé quand les fleurs ont fané
TA FLORENCE
Paroles et musique : Luce Hébert
Ta Florence ton éminence la seule fille que t’as aimée
Ta Florence ta pénitence la seule pour qui tu as pleuré
Ta Florence ta quintessence ta seule idylle et ta beauté
Ta Florence ta suffisance ton seul amour et ta vérité
Qu’est devenue ta Florence ton grand amour d’adolescence
Que sont devenus vos printemps que vous comptiez en attendant
Voir arriver l’émoi d’été pour vous aimer nus dans les prés
Que vous comptiez en espérant avoir bien plus que dix-huit ans
Pour devenir de vieux amants qui prennent rides en trop s’aimant
Ta Florence ton éminence ta seule adresse et ton avenue
Ta Florence ta délivrance ton allégresse et ta bienvenue
Ta Florence ta quintessence ta diablesse ou ta vertu
Ta Florence ton arrogance ta grande ivresse si belle nue
Qu’est devenue ta Florence ton seul amour ta bienfaisance
Sens-tu toujours les battements ceux de ton cœur ceux de l’amant
Ceux qui faisaient battre ton sang ton souffle court son souffle aimant
Vois-tu toujours vos clairs de lune qui s’invitaient les soirs de brume
Pour des dîners à la chandelle où elle était encore plus belle
As-tu voulu garder pour toi ou pour toujours ton grand amour
As-tu voulu mourir parfois comme on meurt quand on aime
As-tu pensé mourir d’amour mourir de faim mourir de froid
Ou simplement ou simplement mourir de peine
Ta Florence ton éminence la seule fille que t’as aimée
Ta Florence ta délinquance la seule pour qui tu aurais volé
Ta Florence ton importance le cœur a ses raisons d’aimer
Ta Florence ton éloquence veux-tu au moins nous en parler
As-tu revu ta Florence
Ton seul amour ta référence
As-tu voulu garder l’espoir jour
après jour soir après soir
Qu’elle reviendrait te faire l’amour
l’as-tu rêvé même le jour
Qu’elle reviendrait juste pour toi
l’as-tu rêvé autant de fois
Vois-tu l’azur et le bleu du ciel
dans tes errances sur les trottoirs
Vois-tu les filles sous leurs ombrelles
et la romance dans leur regard
Vois-tu les filles comme elles sont belles
un autre amour à tout hasard
Vois-tu les filles comme elles sont belles
Vois-tu toujours Florence en elles ?
D’AUTRES PLANÈTES
Paroles et musique : Luce Hébert
Qu’est-ce que tu vois qu’est-ce que t’achètes si je ne suis plus avec toi
Dis-moi de quoi ta vie est faite sans mon visage et sans ma voix
La terre est remplie de prophètes qui n’ont ni message ni la foi
En qui tu crois et qui te guette si je ne suis plus avec toi
As-tu perdu toute ta tête en pensant vivre loin de moi
La terre n’a même plus de cachette dans ses forêts ni dans ses bois
En regardant par la fenêtre en regardant vers l’au-delà
Moi j’ai trouvé d’autres planètes entre le ciel et ici-bas
Est-ce que tu bois et le regrettes si je ne suis plus avec toi
Dis-moi de quoi tes nuits sont faites sans mon visage et sans ma voix
La terre est remplie de vedettes qui n’ont plus d’âge ni de voix
En qui tu crois et qui t’endettent si je ne suis plus avec toi
As-tu perdu toute ta tête en pensant vivre loin de moi
La terre n’a même plus de cachette dans ses forêts ni dans ses bois
En regardant par la fenêtre en regardant vers l’au-delà
Moi j’ai trouvé d’autres planètes entre le ciel et ici-bas
D’autres planètes d’autres endroits
Pour faire la fête seule avec toi
D’autres planètes d’autres endroits
Pour faire la fête comme autrefois
La terre est remplie de mauviettes c’est n’importe qui n’importe quoi
Qui posent nus comme des squelettes pour des contrats de cinéma
Ce sera ma dernière lettre sans mon visage et sans ma voix
Ce sera ma dernière lettre si je ne suis plus avec toi
DEVENU TROP GRAND
Paroles : Luce Hébert
Musique : Claude Chapleau
Seras-tu l’enfant que t’as été quand elle sourira
Seras-tu l’amant de ses étés quand elle le voudra
Devenu trop grand pour rêver
Et beaucoup trop loin pour t’imaginer
Qu’elle aimerait pourtant un peu voyager dans tes pensées
Devenu trop grand pour l’aimer elle se souviendra
Devenu le plus grand du quartier mais elle partira
Elle voulait ta voix pour chanter et tes bras pour jouer
Tu cherchais la voie de la gloire et ses bras pour le soir
Tu la reverras surtout dans tes rêves
Tu la reverras partout sur les grèves
Mais tu n’vivras jamais plus dans ses nuits elle sera partie
Tu la reverras peut-être à Paris
Qu’elle aura choisi pour vivre la nuit
Tu la reverras peut-être cent fois mais peut-être pas
Devenu trop grand pour pleurer tu te moqueras
Devenu l’amant dépossédé et tu boiras
Seras-tu comme l’enfant gâté qui ment pour s’excuser
Seras-tu l’enfant apeuré trop grand pour se cacher
Tu la reverras surtout dans tes nuits
Tu ne dormiras jamais plus sans bruit
Tu la reverras à l’orée des bois et dans d’autres bras
Tu la reverras peut-être à Paris
Qu’elle aura choisi pour vivre la nuit
Tu la reverras peut-être cent fois
Mais peut-être pas
Tu la reverras peut-être cent fois
Mais peut-être pas
TON ROMAN
Paroles et musique : Luce Hébert
Il y a eu toi l’homme de ma vie et d’après toi tant d’autres aussi
Que j’ai aimé et qui m’ont séduit et que la vie m’a enlevé
Il y a eu toi l’homme que j’aimais et d’après toi les autres étaient
Des assoiffés près de mon puits des enivrés de mon grand lit.
J’avais que toi à mes vingt ans toute ma vie prenait son temps
J’avais que toi et je t’aimais tant dis-moi pourquoi tant de tourments
Tu étais là à mes trente ans et d’après toi j’étais comment
Ton cinéma ton grand talent ta femme enfant ou ton roman.
Et puis un jour tu m’as quittée si loin de moi où t’es allé
Je ne crois pas que j’ai oublié cet hiver blanc et ses gelées
Et puis un jour je t’ai quitté si loin de toi où suis-je allée
Je ne crois pas que t’aies oublié cet ouragan de fin d’été…
Tu voyageais en m’attendant en tuant le temps puis mes amants
Tu voyageais bien évidemment en écrivant ton grand roman
Tu revenais comme un errant de tes marées de tes grands vents
Tu étais là si peu souvent je t’espérais comme le printemps…
Et puis un jour dans d’autres bras tu m’as rêvée comme tant de fois
Et t’as souhaité bien malgré toi l’éternité auprès de moi
Et puis un jour comme tant de fois j’ai pas trouvé dans d’autres bras
Et j’ai souhaité malgré nos lois l’éternité auprès de toi.
Seras-tu là dans deux mille ans quand on aura chacun mille ans
Quand on aura dix mille enfants dix mille enfants petits et grands
Seras-tu là à mes 100 ans je vieillis pas c’est rassurant
Quand tu feras de mes amants du papier blanc dans ton roman.
OH LA LA!
Paroles et musique : Luce Hébert
Mademoiselle je prie le ciel
Pour vous revoir vous êtes si belle
Que mangez-vous le matin ou le soir
Des lunes de miel
Oh La La! Oh La La! Des haricots puis du soya
Puis beaucoup d’eau et du chocolat
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle votre rire vient du ciel
Votre sourire eh bien il m’ensorcelle
Ils sont pour moi de jolies étincelles
Que prenez-vous de la pâte ou du gel
Oh La La! Oh La La! Du dentifrice et du soda
Puis beaucoup d’eau avec de la soie
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle votre taille est si fine
Ça me rappelle le temps des crinolines
Quelle fière allure étiez-vous ballerine
Ou venez-vous de la race féline
Oh La La! Oh La La! C’est l’exercice ou le yoga
Je me retiens mais je n’étouffe pas
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle votre peau chatoyante
Comment vous dire elle m’enchante
Comment décrire aussi jolis minois
Mais dites-moi d’une belle et vive voix
Oh La La! Oh La La!
Je soigne mon grain au gant de crin
Après le bain un peu de Nivéa
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle j’oserai être intime
Votre poitrine me semble si sublime
Que portez-vous comme soutien
Que portez-vous qui vous va si bien
Oh La La! Oh La La! Je ne porte pas la Wonderbra
Mais sur mon cœur une petite croix
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle vos jambes me rappellent
Il y a longtemps une actrice ou gazelle
Il y a longtemps sur tous les grands écrans
Quand elle courrait on aurait dit le vent
Oh La La! Oh La La! J’aime les mules ou les souliers plats
Les talons hauts pour les soirs de gala
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle belle comme la lune
Vous êtes blonde mais vous étiez brune
Comment ces boucles sont-elles devenues
Comme le sable ou bien ses dunes
Oh La La! Oh La La! C’est mon coiffeur qui sait ce qui me va
Et quant à moi j’y vais aux quatre mois
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle je tiens à me décrire
Amoureux fou et très épris de vous
Amoureux fou mais sans le sou
Notre avenir pouvons-nous le prédire
Oh La La! Oh La La! Je n’y peux rien j’ai la fièvre des foins
Et l’air marin me fait le plus grand bien
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
Mademoiselle je n’ai plus le choix
Car j’ai vu hier une bague à votre doigt
Et cette pierre doit bien faire un carat
Que répondez-vous à ce sujet-là
Oh La La! Oh La La! Mon diamant n’est pas qu’apparat
J’ai un mari qui vient avec ça
Mais jamais plus Monsieur…jamais plus que ça…
JAMAIS PLUS QUE ÇA!!!
OCÉAN
Paroles et musique : Luce Hébert
Comme les fous de Bassan
L’été viennent troubler
L’onde des océans
En plongeant en plongeant
Comme les goélands
Par derrière par devant
Sur les rondes du vent
En volant en volant
Comme les cerfs-volants
Sur les plages d’argent
Font courir les enfants
En tournant en tournant
Sur l’air en frissonnant
Par devant par derrière
Dans les nuages blancs
Comme dentelle au vent
Je viendrai tous les soirs je viendrai te surprendre
L’amour sera plus fort qu’un océan de cendres
Je viendrai pour te voir et pour te faire comprendre
Que l’amour est plus fort qu’un océan de cendres
Comme les bateaux géants
Qui fendent l’océan
Font des rouli-roulants
En voguant en voguant
Pour bercer les amants
Les amants de la mer
Jusqu’au port de Milan
En tanguant doucement
Je viendrai tous les soirs je viendrai te surprendre
L’amour sera plus fort qu’un océan de cendres
Je viendrai pour te voir et pour te faire comprendre
Que l’amour est plus fort qu’un océan de cendres
Et comme les enfants
Qui n’ont pas vu la mer
Rêvent de l’océan
En suivant les rivières
Comme les enfants grands
Qui ont perdu leur mère
Regardent l’océan
Étourdis par les vents
Comme les enfants grands
Qui ont perdu leur mère
Regardent l’océan
En pleurant en pleurant
TROUVER L’OUBLI
Paroles et musique : Luce Hébert
Te souviens-tu de nos secrets
Le mien c’était que je t’aimais
Trouver l’oubli dans nos regrets
Trouver l’oubli comment on fait
Tout effacer l’indélébile ou l’impossible qu’on a été
Tout effacer le difficile qu’on a juré sur trop de bibles
Te souviens-tu de nos secrets
Le mien c’était que je t’aimais
Trouver l’oubli dans nos regrets
Trouver l’oubli comment on fait
Tout faire rimer en prose agile nous passionner comme vents sur l’île
Et s’oublier comme les deux cibles qu’on a été dans ce café
Lancer les dés comme face ou pile les faire tourner au bout du quai
Lancer les dés autant qu’ils filent pour nous donner l’éternité
Te souviens-tu de nos secrets
Le mien c’était que je t’aimais
Trouver l’oubli dans nos regrets
Trouver l’oubli comment on fait
Rêver de mai même en avril y’a trop de mois avant l’été
Rêver d’aimer si forts et libres comme vents sur l’île qu’on a été
Te souviens-tu de nos secrets
Le mien c’était que je t’aimais
Trouver l’oubli dans nos regrets
Trouver l’oubli comment on fait
Te souviens-tu comme on s’aimait
Te souviens-tu comme je t’aimais
Trouver l’oubli dans nos regrets
Trouver l’oubli comment on fait…
Comment je fais…
Comment on fait…
Comment je fais…
Comment je fais…
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