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Infidèle

Paru en 2017

TOUT PASSE

Paroles et musique : Luce Hébert

Je n’ai jamais oublié ton nom
Ce n’est pas vrai qu’on oublie les noms mais bon
Tout passe
Je n’ai jamais perdu la raison
Ce n’est pas vrai qu’on oublie son nom mais bon
Tout passe

Je t’ai aimé comme dans les chansons
que j’écrivais sans papier sans crayon mais bon
Tout passe
Puis j’ai quitté comme d’autres s’en vont
Pour aller où dans d’autres prisons mais bon
Tout passe tout passe

Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe

Je n’ai jamais demandé pardon
Ce n’est pas vrai qu’on part sans raison mais bon
Tout passe
Puis j’ai pleuré comme dans les saisons
Où l’ouragan se vautre en typhon mais bon
Tout passe tout passe

Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe

Je n’ai jamais perdu la raison
Ce n’est pas vrai que je tourne en rond mais bon
Tout passe
Mais j’ai rêvé comme dans les chansons
Que j’écrivais car l’amour est si bon si bon
J’en passe
Je n’ai jamais oublié ton nom
Ce n’est pas vrai qu’on oublie les cons mais bon
Tout passe tout passe

Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe
Tout passe de guerre lasse tout passe tout passe
Tout passe même la casse tout passe tout passe

La fin de l'amour

Paroles et musique : Luce Hébert

Ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Quand tous les chiens aboient à la tombée du jour
Ce n’est pas la fin d’aimer et d’être aimé
Quand nos rêves se noient en Méditerranée

Ce n’est pas toujours la fin pour toujours
La fin de notre histoire de notre histoire d’amour
Ce n’est pas la fin la fin sans lendemain
La guerre déclarée en pays étrangers

Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi

On n’est pas toujours le héros du jour
L’employé du mois ou d’un pays le roi
Ce n’est pas toujours comme au cinéma
La vie de tous les jours nous prend l’amour parfois

Ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Quand les trains les convois s’arrêtent à un détour
Ce n’est pas la fin d’aimer et d’être aimé
Aussi brève que soit la trêve déclarée

Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi

On ne fait pas toujours pitié ou bien l’amour
Ce n’est pas toujours envers et contre ou pour
Ce n’est plus l’amour comme aux premiers jours
En plein mois de mai comme des jeunes mariés

On naît pas toujours poète ou troubadour
En habit de gala ou robe de velours
Ce n’est pas toujours comme au cinéma
La vie de tous les jours nous prend l’amour parfois

Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi

Mais ce n’est pas toujours la fin de l’amour
Ce n’est que parfois ridicule combat
Mais ce n’est pas toujours la fin pour toujours
Ce n’est que parfois parfois chacun pour soi

On cherchera

Paroles et musique : Luce Hébert

Comme dans les îles au loin là-bas terres paisibles pays sans froid
Où nos villas étaient sans toit d’argile d’ardoise ou bien de bois
Où nos marins devenus canailles étaient des mutins de ripailles

Comme dans les villes d’autrefois pays tranquilles pays de choix
Où nos villas devenues asiles étaient châteaux au bord de l’eau
Où nos jardins devenus ferraille étaient les lopins de Versailles

On cherchera on cherchera on trouvera une presqu’île
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour tranquille
On cherchera on cherchera on trouvera clairière ou bois
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour cent fois

Comme dans l’endroit où on ira on trouvera ce coin d’amour
Où les maisons ont des plein jours on trouvera ce coin de vie
Où les typhons s’en vont de nuit en arc-en-ciel en eau de pluie

On cherchera on cherchera on trouvera une presqu’île
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour tranquille
On cherchera on cherchera on trouvera clairière ou bois
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour cent fois

Et si la guerre ne nous tue pas on cherchera on trouvera
Venant du ciel de l’eau de pluie juste pour rester en vie
Et si nos frères ne nous tuent pas on cherchera on trouvera
Pure et sans fiel de l’eau de pluie juste pour rester en vie

On cherchera on cherchera on trouvera une presqu’île
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour tranquille
On cherchera on cherchera on trouvera clairière ou bois
Où il se peut où il se peut que nous fassions l’amour cent fois

Des rêves étranges

Paroles : Luce Hébert

Musique : Luce Hébert & Yves Savard

La pleine lune est une opale ça fait la une d’un grand journal
Et on raconte que les étoiles si on les compte hissent les voiles

Tous les poissons qui sont dans l’eau comme de raison sont des robots
Tous les bateaux sont des ballons et l’océan est en carton
Et ton piano joue des morceaux ça fait des ronds des ronds dans l’eau

Est-ce que tu fais des rêves étranges
Raconte-moi tes rêves étranges
Est-ce que tu sais les rêves étranges
Sont quelquefois la voix des anges

L’astre du jour plonge dans l'eau et un vautour sur un corbeau
Tu cherches et trouves la clé d’un champ tu te retrouves au firmament

Tous les missiles sont en vengeance ça fait la file dans les urgences
Tu cherches une île pour tes vacances tu tombes pile t’en a d’la chance
Dans une forêt tout disparaît c’était trop beau pour être vrai

Est-ce que tu fais des rêves étranges
Raconte-moi tes rêves étranges
Est-ce que tu sais les rêves étranges
Sont quelquefois la voix des anges

Est-ce que tu fais des rêves étranges
Raconte moi tes rêves étranges
Est-ce que tu sais les rêves étranges
Sont quelquefois la voix des anges

Maybe

Paroles et musique : Luce Hébert

Maybe you hear the piano plays maybe you fear what solo says
Maybe you’re near maybe you’re dead and all those fears live in my head

Maybe you know those summer days when the rain falls throughout sun’s rays
Maybe you know I rest my case hope you’ll be back one of these days

Maybe you know about my trace maybe you hear what people says
Maybe they see an old lady who plays it cool who plays it free

But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the good I feel the bad for what we could or what we had
But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the bad I feel the good for what we had or what we could

Maybe you hear my cry and pride and all those tears I try to hide
That I can’t sleep ‘cause ghosting fright that I can’t sleep without your light

Maybe you know about my trace maybe you hear what people says
Maybe they see and old lady who plays it cool who plays it free

Maybe you know about my days maybe you hear what people says
Maybe they see an old lady but it’s not me but it’s not me

But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the good I feel the bad for what we could or what we had
But you know what I dream of you no matter what I feel for you
I feel the bad I feel the good for what we had or what we could

Maybe you know about my days maybe you hear what people says
Maybe they see an old lady but it’s not me but it’s not me

C'est impossible

Paroles et musique : Luce Hébert

C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus t’aimer
C’est impossible comme un amant qui tremble tous les amants qui tremblent
Peuvent encore s’embrasser
C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus rêver
À l’impossible
Comme un volcan qui tremble tous les volcans qui tremblent vont bientôt s’embraser

C’est impossible pourquoi vouloir reprendre ce que tu m’as donné
Dès que possible peux-tu faire une amende et qu’elle soit honorée

C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus t’aimer
C’est impossible comme un amant qui tremble tous les amants qui tremblent
Peuvent encore s’embrasser

C’est impossible pourquoi vouloir détendre un feu de cheminée
L’âtre paisible où l’on remue les cendres dans le cœur d’un brasier
C’est impossible pourquoi vouloir suspendre un rêve inachevé
Et si possible toi seul ne peux prétendre quand l’aube s’est levée

C’est impossible
Ce que tu me demandes ce que tu me demandes c’est de ne plus rêver
À l’impossible
Et les volcans qui tremblent tous les volcans qui tremblent vont bientôt s’embraser
C’est impossible
Comment puis-je t’attendre et ne plus espérer
L’instant fébrile
Où l’on croit rendre l’âme sitôt abandonnée
C’est impossible
Tous les glaciers d’Islande vantent l’hiver vantent l’été
Tout est possible
Tant de beautés si grandes ne peuvent t’échapper

C’est impossible
Moi qui étais si tendre moi qui étais si tendre
Je ne peux plus t’aimer
C’est impossible
Moi qui étais si grande moi qui étais si grande
Je ne peux plus rêver

Infidèle

Paroles et musique : Luce Hébert

Comme on aime parfois comme on aime plus fort
Comme on aime cent fois cent fois et plus encore
Comme on apprend jamais comment l’amour se fait
On remet le hasard Infidèle pour un soir
Comme on cherche pourquoi comme on n’veut pas savoir
On perd chaque fois les clés de sa mémoire

Comme on aime souvent comme on oublie pourtant
Jusqu’à jurer on croit qu’on aimera longtemps
Comme on aime pour soi comme on part en courant
Jusqu’à jurer on ment Infidèle pour un temps
Comme on cherche pourquoi comme on n’veut pas savoir
On pleure chaque fois sur le quai d’une gare

Quand on a peur le soir on cherche dans le ciel
Une lune d’ivoire une flamme éternelle
Quand on n’a plus d’espoir on cherche une étincelle l’astre qui luit le soir
Sur les neiges éternelles

Comme on aime cent fois cent fois mais pas assez
Jusqu’à plus soif on boit sur nos amours passées
Comme on apprend jamais comment l’amour se fait
On se tait pour un mais Infidèle à jamais
Comme on cherche le bonheur comme on le trouve ailleurs
On vieillit puis on meurt Infidèle jusqu’au cœur

Quand on a peur le soir on cherche dans le ciel
Une lune d’ivoire une flamme éternelle
Quand on n’a plus d’espoir on cherche une étincelle l’astre qui luit le soir
Sur les neiges éternelles
Quand on a peur le soir on cherche dans le ciel
Une lune d’ivoire une flamme éternelle
Quand on n’a plus d’espoir on cherche un arc-en-ciel l’astre qui luit le soir
Une flamme irréelle

Comme on cherche avec qui écrire notre histoire
Jusqu’à mourir d’envie on a envie d’y croire

Même cent fois

Paroles et musique : Luce Hébert

La couleur du ciel était belle et je chantais pour toi
La chaleur semblait être celle que j’étouffais en moi
Les enfants jouaient à la marelle comme dans les fêtes parfois
Nos amis riaient de plus belle et chantaient plus fort que moi

La douceur du temps était celle qui me rappelait ta voix
Tu berçais mes peurs sous l’ombrelle et je croyais en toi
Les enfants cueillaient les airelles et couraient dans tous les bois
Tant de larmes mouillaient mon rimmel et je ne les voyais pas

Malgré la fête si belle je pense encore à toi
Dans ce pays de pur ciel tu ne reviendras pas

La douceur du temps était celle que j’aimais autrefois
Quand pour toi j’étais la plus belle une Juliette au cinéma
Les cerfs-volants dansaient dans le ciel et moi dans tes bras
La chaleur signait l’arc-en-ciel sur l’écho de ma voix

J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu nous vois j’t’aurais tout donné même cent fois
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu me crois j’t’aurais tout donné même cent fois

Et l’écho de ma voix au ciel qui te tendait les bras
Et l’écho de ma voix réel si près si près de toi

J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu nous vois j’t’aurais tout donné même cent fois
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu me crois j’t’aurais tout donné même cent fois
J’aurais tant voulu que tu sois là j’aurais tout donné comme autrefois
J’aurais tant voulu que tu nous vois j’t’aurais tout donné même cent fois

Depuis nous

Paroles et musique : Luce Hébert

Lentement et ça me plait le temps me grise et c’est parfait
Les gens me disent que tu m’aimais si c’était vrai
Doucement rien n’y paraît les gens m’épuisent si tu savais
La seule église qu’il me faudrait c’est ton palais

Depuis nous
Les courants n’ont pas changé
Les océans font toujours bien les marées
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous

Depuis nous
Les grands vents n’ont pas tourné
Les ouragans n’ont pas détruit tous les étés
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous

Comme avant et désormais dans ma valise y’a tes complets
Et ta chemise que je portais quand tout m’allait
Je t’attends comme je m’en vais je me déguise et ça me plaît
Mon cœur se brise et se refait dans un couplet

Depuis nous les courants n’on pas changé
Les océans font toujours bien les marées
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous

Maintenant dans tous les marais ou la Tamise je vois ton reflet
Mon cœur s’enlise ou fait du ballet sur les galets
Je t’attends comme je te rêvais le vent me grise je fais un souhait
Pourtant la bise siffle mon secret et tu disparais

Depuis nous les courants n’ont pas changé
Les océans font toujours bien les marées
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous

Depuis nous les grands vents n’ont pas tourné
Les ouragans n’ont pas détruit tous les étés
Depuis l’instant où je t’ai rencontré
Depuis nous Depuis nous

Les jeux de société

Paroles et musique : Luce Hébert

Tu rentreras si tard je serai fatiguée
Les yeux cernés de noir pareils à mes idées
Tout au bout du couloir je te devinerai
J’ai quitté ta mémoire comme un rêve oublié

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé

Tu rentreras trop tard trop tard pour m’arrêter
De vider mes tiroirs ou bien m’en empêcher
Comme aux jeux de hasard les jeux de société
Font tourner les histoires comme tournent les dés

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé

En croisant ton regard je la devinerai
Sans lune et sans espoir la nuit des condamnés
Comme aux jeux de hasard les jeux de société
Font tourner les histoires comme tournent les dés

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires qui ont le cœur brisé
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs et battent les pavés

Et je me dis encore je ne veux pas pleurer
Les larmes sont des histoires si tristes à raconter
Les larmes sont d’abord comme les pluies d’été
Qui lavent les trottoirs où l’on s’est embrassé

Le grand manège

(Chanson pour Mila)

Paroles et musique : Luce Hébert

Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et qu’importe où sera l’endroit il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège
Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et si petite que tu sois il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège

De Tivoli à Malaga les châteaux forts et des villas
De Tivoli à Malaga des lunes phares où que tu sois

Et tous les ports seront pour toi de grands décors de cinéma
Du sud au nord tu trouveras tant de trésors et ceux des Incas

Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et qu’importe où sera l’endroit il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège

Et si la vie guide nos pas tout doux la nuit tu rêveras
À tous ces lieux tous ces endroits tout l’eau des fjords que tu boieras

Jusqu’à l’aurore tu rêveras de tes envies naîtront nos pas
De deux de trois ou bien de chat que font les rats les rats de l’opéra

Et on ira où tu voudras aussi loin que que tu voudras aussi loin que dans tes rêves
Et si petite que tu sois il tournera il tournera pour toi
Il tournera le grand manège

Et quand la vie me quittera
Tu partiras tu partiras sans moi
Il tournera le grand manège
Le grand manège il tournera
Il tournera le grand manège
Le grand manège
Il tournera pour toi

Encore encore

Paroles et musique : Luce Hébert

Encore Encore
Tu t’imagines la fin du monde
Et quand tu dors
Quelqu’un dessine des rêves sombres
Encore Encore
Tu t’imagines que tout s’effondre
Et sur ton corps
Toutes les ruines elles tombent elles tombent
Elles tombent elles tombent

C’est aussi fort c’est aussi fou
Qu’un rêve mort qu’un rêve doux
Mais quand tu dors tu aimerais oublier tout oublier tout

Encore Encore
Tu t’imagines la fin du monde
Et quand tu dors
Quelqu’un dessine des rêves sombres
Encore Encore
Tu t’imagines que tout s’effondre
Et sur ton corps toutes les ruines elles tombent elles tombent
Elles tombent elles tombent

Tu perds le nord tu t’en vas où
Dans des couloirs sans rendez-vous
Dans ta mémoire il y a des trous
Des mines d’or mais sans le sou

Tu pleures encore tu pleures surtout
Sur tes remords et sur tes joues
Ton rêve mort ton rêve doux
Et son regard qui disait tout

Tu perds le nord tu t’en vas où
Sur des trottoirs sans garde-fou
Dans ta mémoire il y a des trous
Et des trésors sans le Pérou

Tu pleures encore tu pleures surtout
Sur tes remords et sur tes joues
Ton rêve mort ton rêve doux
Et son regard qui disait tout

Trouver l'oubli

Paru en 2014

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